La Pulpeuse Nathalie : La Nuit De Folie Avec Son Amant… (Partie 7/9)

Après leur petite discussion, Nathalie et Richard, n’avaient pas rejoint leurs conjoints respectifs. Mains dans la main, ils longèrent le bar pour accéder dans un espace privé du club. Lorsque le vigile aperçut Richard, accompagnée de sa charmante conquête, il s’écarta de devant la porte et laissa passer le couple en disant :
— Bonsoir Monsieur Richard, la salle N° 6 est libre.

En empruntant ce long couloir, ils s’étaient dirigés vers le studio qui se trouvait à mi-chemin de la sortie sur l’extérieur, fermée par une double porte vitrée. Richard sortit sa clé et ouvrit. Cette salle était un petit logement, d’environ trente mètres carrés qui se composait d’une petite kitchenette, d’une belle pièce de vie, pourvue de deux fauteuils et d’un canapé, placés autour d’une table basse et d’un petit bahut sur lequel était posé un téléviseur. A droite de l’entrée, se trouvait les toilettes et une petite salle de bains. Au fond, une petite chambre avec un lit et ses deux tables de nuits et deux armoires avec une grande glace centrale, devant deux murs :
— Tu viens souvent ici Richard ?
— Oui ! C’est en quelque sorte ma garçonnière. Tu sais, je ne suis pas de bois, quand Flo est avec Vincent, où crois-tu que je me trouve ? Lui, il loue le studio N°12 pour certaines affaires. Nous avons des actions dans cette société de location de meublés.
— Vous êtes des beaux salops, vous les garçons. Si ça ne m’étonne pas de toi, je ne pensais pas que Vincent pouvait être à ce point aussi infidèle. Dit-elle en le prenant par le cou et en l’embrassant sur ses lèvres.

Ils posèrent leurs manteaux sur le perroquet à l’entrée et enlevèrent leurs chaussures pour les déposer dans le petit meuble, Nathalie posa son sac :
— Attends-moi, je vais me préparer. Dit-elle
— Tu bois quelque chose ? Champagne ? Lui demanda Richard
— Je veux bien merci.

Pendant que Nathalie alla à la salle de bain, Richard sortit deux coupes du bahut et les posa sur la table basse.

Il se dirigea vers le frigo, prit une bouteille de Taittinger, fit exploser le bouchon et servit cette fabuleuse boisson pétillante dans les deux coupes.
Nathalie sortit de la salle d’eau éblouissante, elle ne portait qu’un ensemble en satin mauve et noir, un mini short satiné assorti et un soutien-gorge en dentelle à fines bretelle :
— Putain !!! Que tu es bonne ! S’exclama Richard en la voyant ainsi. Approche que je t’admire. Mais tu sais que tu es magnifique.
— Arrête Ric ! Tu vas me faire rougir.

Elle s’approcha de lui, il lui enserra un sein délicatement d’une main, puis de l’index et du pouce de la main gauche tira sur la dentelle du soutien-gorge bonnet 90C, pour dévoiler le téton de son autre sein. Il baissa la tête et lui prit le mamelon entre ses lèvres :
— Ils sont splendides, tu as des supers nibards ma coquine. J’en raffole.

Tout en s’accroupissant devant elle, Richard glissa ses mains le long de ses flancs pour s’arrêter sur ses hanches, ses doigts reposaient sur une partie de chacune de ses fesses. Il lui fit une bise sur le pubis au-dessus du satin de son shorty échancré à souhait ce qui la rendait encore plus sexy. Puis lui caressa les globes de son arrière train :
— Quel cul bon dieu ! Je ne pouvais pas t’imaginer aussi belle. Tu es une vraie amazone ma chérie. Comment ai-je pu attendre aussi longtemps pour te voir ainsi ? Poursuivait-il en bisant l’intérieur de ses cuisses.
— La marchandise te plait on dirait, tu es gentil, tes compliments me vont droit au cœur. Si nous trinquions maintenant ? Nous avons toute la nuit pour nous découvrir.

Nath se mit assise et commença à siroter son verre. Richard étant pressé de passer aux choses sérieuses, se dévêtit immédiatement, il enleva sa veste, son pantalon puis sa chemise et posa ses affaires sur un fauteuil. Il se retrouvait très vite en slip, debout devant sa partenaire. Il attrapa sa coupe et la vida d’un seul trait. Ric en quête d'un slip qui offrait la sensation d'une seconde peau avait choisi un slip en modal.
Il était si léger et si doux qu’il se faisait presque oublier et moulait parfaitement ses formes. Voyant le sexe de son amant en début d’érection, Nathalie lui demanda d’approcher :
— Viens ici que je contrôle la marchandise à mon tour.

De ses deux mains, Nath caressait le torse et les abdominaux de Richard et fit une petite bise sur le fin tissu tendu par le sexe de son amant. Elle passa ses doigts sous l’élastique de chaque côté de son slip et le tira vers le bas dévoilant le puissant pénis qui prenait sa forme finale. Elle fit une nouvelle bise sur ce gland gorgé de sang en disant :
— Tu as une queue magnifiquement épaisse, j’ai hâte de l’essayer.
— Moi, quand je voyais tes lèvres pulpeuses comme je les aime, je rêvais de te mettre ma queue dans ta bouche polissonne.
Richard enleva son slip et dévêtit Nathalie qui s’offrait devant lui. Il s’allongea nu sur le divan et invita Nathalie à le rejoindre :
— Chevauche-moi ma friponne, nous allons nous faire plaisir dans un 69 inoubliable.

Sans dire un mot, elle passa sa jambe droite au-dessus de son torse, posa son genou sur le coussin, pencha sa tête en avant, sa jambe gauche restant sur le sol. Ses seins reposaient sur les abdominaux musclés de Richard. De sa main gauche, elle saisit sa verge et de la langue, elle la lécha de bas en haut, elle cracha sur le gland, avant de l’engloutir entre ses lèvres. Richard avait les bras sous les cuisses de Nath et ses mains reposaient sur ses fesses, la bouche et le nez enfuis dans son intimité.

Il léchait, aspirait les grandes lèvres, suçait, et pénétrait sa langue dans son vagin. Tout cela à tour de rôle, tandis que ses mains trituraient les globes parfaits de ses fesses et caressait la raie de ses doigts et de son nez caressait son anus. Elle de son côté, masturbait la base de sa queue de la main gauche, montait et descendait sa tête le long de sa hampe, de la langue elle tournait et retournait autour du gland, du méat à la couronne et de sa main droite, elle malaxait ses bourses pleines.


Ils ne pensaient plus à leur couple respectif, ils étaient tous les deux dans leur monde et celui-ci était très érotique, pendant dix minutes ils se faisaient ce bien énorme, leur plaisir montait dans leur corps. Ce moment s’éternisait encore, ni l’un ni l’autre ne désirait arrêter ce qu’ils avaient entrepris. Lorsque le pouce de Ric pénétra l’anus de Nath et s’introduisait à fond puis ressortait d’avant en arrière, elle eut son premier orgasme, son jus s’écoulait dans la bouche de son amant qui essayait tant bien que mal de boire sa jouissance.

Nathalie accéléra la masturbation et sa fellation, elle voulait qu’il connaisse la joie de sa bouche, elle n’avait que le gland entre les lèvres, mais elle l’aspirait fort puis relâchait, elle voulait qu’il explose :
— Sale putain ! t’y es parvenue, je vais gicler. Dit-il
Elle ne put répondre, elle avait tout son sperme en pleine bouche, il avait tellement éjaculé, qu’elle eut des difficultés d’avaler tout sa semence :
— T’es une vraie salope Nath, je ne t’imaginais pas comme ça.
— Toi, tu en as dans les couilles, j’ai failli m’ et en recracher, tellement il y en avait. Un peu de champagne va me faire un bien fou. Bravo tu es parvenu à me faire jouir assez rapidement.
— T’es une vraie cochonne, t’es toujours comme ça.
— Non ! c’est toi qui me rends comme ça. On va bien s’entendre.
Ils se levèrent et s’installèrent sur les fauteuils pour reprendre une nouvelle coupe de champagne.
— Tu as raison, buvons et reprenons des forces, je n’ai pas fini de te baiser, tu vas devenir ma salope.
— Je n’ai pas l’habitude d’entendre tous ces mots grivois avec Vincent, mais ça m’excite, que tu me dises tout ça.
— Tu es à partir d’aujourd’hui ma pute, ma chienne.
— Si je deviens ta chienne, tu seras ma chose, je vais te vider les couilles, j’ai envie que tu me baises, que tu m’encules ce soir.

Oh que Richard était un amant exceptionnel, très résistant et très performant cet homme que Nathalie avait choisi en remplacement de son mari pour une nuit.
Tous les deux se demandaient si Vincent et Florence baisaient ou s’ils étaient rentrés chacun de leur côté. Savaient-ils que leurs conjoints étaient ensemble pour une nuit d’amour.
Ils reprirent une troisième coupe de champagne et se mirent à baiser sur le tapis doux et soyeux au milieu de la pièce. Richard avait pris des forces, il avait sa queue raide comme une batte de baseball. Il s’allongea sur le sol :
— Viens me chevaucher sale pute, mon amazone, je suis ton bourrin.
— Je vais m’embrocher sur ton glaive et je vais me régaler.

Nathalie assise, le pieu de Richard au plus profond de son ventre s’activait de haut en bas, de gauche à droite, d’avant en arrière tout en jouant de ses muscles intimes, encerclant et aspirant la verge de son amant qui lui pétrissait la poitrine de star du X et lui martyrisait les tétons qui étaient devenus très dur et très sensible à la limite de la douleur. Dès que Ric sentait monter la pression, il stoppait et faisait changer de place sa partenaire, il savait qu’avec l’alcool qu’il avait bu et la première éjaculation, il ne pourrait pas jouir trois fois cette nuit. Toutes les phrases y passaient et les mots crus tel :
— Je te prends comme une pute
— Baise-moi plus fort.
— Tiens salope, tu ne mérites que d’être baiser.
— Plus fort, encore, plus profond.
— Oui !!!! Je jouis… Baise-moi… encule-moi…

Et les diverses positions testées, Nathalie jouait le jeu et prenait plaisir à le faire, elle les connaissait à peu près toutes mais celle qu’elle préférait avec Richard, c’était la levrette, car il actionnait sa bite en alternant dans sa chatte et dans son anus, elle avait déjà joui trois fois et ce n’était pas terminer car elle sentait venir un dernier orgasme :
— Je vais te la mettre dans le cul et y rester salope. S’excitait Richard.
— J’attends que ça, met-moi la dans le cul que je jouisse. Vide-toi entièrement dans le rectum, envoie la sauce.

Il n’en avait pas fallu beaucoup plus à Richard, Nath l’avait mis dans tous ses états, il la labourait littéralement, ses couilles tapaient sur son pubis, excitant le clitoris gonflé à toc à chaque coup de boutoir, les mains sur ses hanches, il allait et venait dans son rectum, elle gémissait sentant son plaisir monter, il la perfora une dernière fois en criant son plaisir, il se pencha un peu plus sur elle en poussant un grand râle :
— Ohhh…Tiens prends ça…tiens…tiens…Tiens… Disait-il à chaque giclée de foutre qui lui expédiait dans ses entrailles.

Il venait de se vider complètement et restait pour le plaisir de la pénétrer encore un peu, le temps qu’elle prenne aussi son plaisir. Quelques secondes plus tard, un cri résonna dans la pièce lorsqu’elle eut son dernier orgasme, inondant de sa jouissance le tapis qui avait déjà dû recevoir cette liqueur féminine par d’autres partenaire de Ric, elle avait mis les mains en arrière attrapant avec ses ongles les fesses de Richard pour l’empêcher de ressortir :
— Ouiii… C’est trop bonnn…Ouiii…

Relâchant tous ses muscles crispés pendant sa jouissance, elle s’écroula sur le sol entrainant avec elle, son partenaire. Ils étaient épuisés, ils venaient de connaitre deux heures de pur bonheur. Après être restés quelques minutes, allongés sur le tapis, ils s’étaient relevés et s’étaient dirigés vers la table basse. Richard servit deux coupes en vidant la bouteille. Ils prirent un court instant de repos sans rien dire en buvant leur champagne. Ce fut Richard qui brisa le silence qui régnait dans la pièce :
— J’en peux plus dit-il, tu es trop géniale Nath.
— T’es pas mal non plus mon chéri, j’en redemande demain matin. Allons-nous coucher.
— Tu ne prends pas de douche ?
— Non ! Demain. Je suis crevée.

De toute évidence, au lit, les deux associés ne se ressemblaient pas. Richard était un passionné de sexe, une brute tendre jamais dans l’excès, sa façon de parler lors de leurs joutes amoureuses, avait fait redécouvrir à Nathalie qu’elle était vraiment sa nature profonde, une maitresse assouvie et accroc au sexe et à l’amour sauvage.

Le lendemain matin avant de quitter leur studio, ils avaient une nouvelle fois fait l’amour sauvagement mais il était temps pour eux de regagner leur domicile où leurs conjoints les attendaient. L’un comme l’autre, n’avaient caché leur idylle, ils étaient décidés de dire la vérité, ils se reverraient régulièrement. Les deux couples pouvaient désormais vivre leur sexualité chacun à leur manière. Nathalie devait déjà revoir Richard au studio 6 du club, étant réservé tous les mercredis et les samedis.


Si comme Nathalie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.

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